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 Reizen Sanzo, a king. | 100% |

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MessageSujet: Reizen Sanzo, a king. | 100% |   Reizen Sanzo, a king. | 100% | EmptyJeu 31 Déc - 23:32

& . ALL ABOUT ME

DONNÉES CONFIDENTIELLES :

NOM : Sanzo.
PRENOM(S) : Reizen.
ÂGE : Dix-neuf petites années.
ORIENTATION : Bisexuel, pas de favoritisme, voyons !
ARME : Il a beau avoir reçu une éducation censée le rendre capable d’utiliser n’importe quelle arme et cela en toutes circonstances, Reizen n’a jamais aimé se battre. Très naïf comme point de vue et la situation actuelle à Millénium fait qu’il a bien été obligé de se rendre à l’évidence ; survivre sans combattre était chose impossible. Au bout du compte, il réussit à admettre avec lui une petite collection de poignards tout à fait semblables, ayant des airs de jouets en plastique alors qu’ils sont on ne peut plus tranchants et dissimulés un peu partout sur lui. Mais de là à dire qu’il arrive à bien les utiliser…
GROUPE : Maitre Sérénités.
METIER : Maitre ?
..........

PHYSICAL APPEARANCE :

Avez-vous déjà vu un ange ? Cet être au sourire maternel et au regard indulgent, pardonnant vos moindres péchés du haut de son piédestal, à la fois hautain et modeste. Loin et proche. Naïvement, halo souriant et brûlant, il tend la main, désespérément, comme s’il cherchait à se sauver lui-même en vous aidant. Comme si chacune de vos blessures se dessinait en lui.

Officiellement parlant, lorsqu’on l’observe de loin, avec de grands yeux indifférents, il n’est qu’un enfant parmi tant d’autres, un peu plus beau peut-être, un peu plus fragile sans doute. Il n’est ni grand, ni petit, hésitant entre les deux comme s’il ne veut dépasser personne. Et cette impression de douceur brumeuse s’accentue par son aspect mince et sa silhouette élancée qui sont loin de lui offrir un corps de séducteur-né ayant une foule envieuse à ses pieds. Or, il sait parfaitement que c’est bien le fait qu’il ait encore l’air d’un gamin doucereux et enfantin qui pousse ses camarades sérénités à combattre à ses côtés. Pensez-vous qu’ils croiraient avec autant de détermination en son utopie s’il était un caïd immense et bien bâti ? Evidemment que non. Et de ce côté-là, rien en lui n’a été mis de côté ou bâclé. Comme créé par un sculpteur perfectionniste, son corps est lumineux jusqu’au bout des doigts, faussement délicat. Il est certes d’une extrême maladresse physique, ayant même beaucoup de mal à supporter les combats longs ou d’un niveau élevé mais ce n’est pas une poupée de cire que l’on peut briser au moindre contact. Du moins… il fait de son mieux pour se renforcer.

D’ailleurs, il a pile le visage du garçon « qui fait de son mieux ». Efféminé, fin, d’un ovale parfait de petit ange. Il n’en possède pas juste la forme mais aussi cet effet à la fois douloureux et chaleureux lorsqu’il sourit. Et son sourire ! Timide, rouge, tout juste sorti d’une peinture d’un ancien temps plus heureux, plus idéal. Mais il est rare de le voir véritablement sourire ou même rire. Ses dernières réserves de joie se sont évaporées trois ans plus tôt, devenant de simples fantômes poussiéreux qu’une expression de souffrance profonde a remplacés, comme s’il pleure et porte toute la tristesse du monde. Gentil Reizen, Pauvre Reizen. Petit ange à qui on avait coupé les ailes et qui avait du mal à guérir seul, à se battre contre son frère. Or, il fait des efforts. Montrer sa douleur n’est pas la meilleure stratégie à adopter et il n’est pas question qu’on le voie ainsi. Surtout pas Lui ! Ainsi, ses grands yeux sereins se remplissent d’une obstination butée et sans bornes, à la fois stupide et voluptueuse. Pathétique et magnifique. Entourant ce miroir de sentiments brisés, une chevelure légère et un peu rebelle. De douces mèches un peu incolores – ce qui est étonnant pour son âge mais un peu moins lorsqu’on voit son frère – lui barrent le front allant jusqu’à lui obscurcir la vue et il n’est pas rare de le voir secouer un peu la tête pour s’en libérer ou les balayer d’un petit coup de main furtif. Parlons-en de ses mains, aussi fines que le reste de son corps. De longs doigts qui semblent prêts à se briser au moindre serrement trop brutal de la part d’une tierce personne.

Aime-t-il son apparence ? Oui et non. Parfois, de bonne humeur, il penche pour le oui, en souriant d’un air faussement prétentieux qui fait rire ses camarades. Mais à peine pense-t-il à Raven qu’il se fait plus hésitant. Il aurait aimé être aussi grand, aussi brillant que son frère. Il le pense mais ne fait rien pour atteindre ce vœu. Des efforts ? Pas du tout. Même pour ses vêtements, il restait sobre et banal. Une chemise, un pantalon, une veste, histoire de ne pas se balader nu – pas la peine de faire remarquer qu’il est d’une extrême pudeur, tout le monde l’aura deviné. Parfois, il se permet quelques extravagances de gamin né dans le luxe complet mais pas plus. Modestie, quand tu nous tiens.

................

INTO MY HEAD :

Pensez-vous que sa ressemblance à un être divin s’arrête aux apparences, au masque extérieur ? Eh bien oui et non. Au début, personne ne s’en doutera ; Reizen est un ange, un soleil. Puis, finalement, à force de le connaître, de partager ses peines, on finit par l’apercevoir, cette blessure, ce manque, cette harmonie cassée en lui.

Reizen est très attaché aux gens et à la l’humanité en elle-même. « Tu es vivant ? Tu es humain ? Alors tu mérites mon affection. » Rien de plus. Sans aucune raison apparente, il aime tout le monde et n’importe qui, du Sérénité qui combat à ses côtés jusqu’au Décadent qui ravage son monde. Quelqu’un d’autre pourrait voir cela comme de l’arrogance. Accepter ainsi tous les défauts humains, donner une seconde chance à chacun… n’est-ce pas en effet une forme de prétention ? Mais il suffisait de l’entendre parler de Paix, de Communion pour effacer toute trace de doute. Son désir pittoresque de paix est réel et approche même l’obsession un peu folle. Il ne pense qu’à ça, s’accrochant à cette illusion d’enfant blessé. D’ailleurs, son envie de créer un monde en paix avec les Décadents et même les Narcisses vient d’une part égoïste en lui, comme s’il croit qu’en réparant les erreurs passées de ses parents qui les avaient conduits à une détestable mort, il réparerait aussi celle de son frère.

Et c’est bien son obstination sûre et bien enchainée à des convictions imprimées en lui qui fait de lui un roi digne de ses discours pacifistes car la parole ne suffit pas, il faut la foi. Malheureusement, son obstination n’a pas que du bon. La preuve est que depuis la mort de ses parents et le déclenchement de la guerre, il refuse de contacter son frère. Orgueil ? Fierté ? Peut-être un peu des deux, mêlés à une pointe amère de regret. Mais il est de ceux qui continuent jusqu’au bout et ne lâchent prise que leur but atteint, morts ou vifs. Même si cela parait stupide ou désespérant. Il y croit intelligemment, sans foncer droit devant en tête brûlée et c’est le plus important. Or, pour un tel destin, de tels projets, il aurait fallu être plus… fort. Mais Reizen manque de puissance. Aussi fragile qu’un de ces vases préférés des adultes, si faciles à briser, la simple vue de son ainé mettre fin aux jours de ses géniteurs l’a déchiré. Lui qui était déjà chancelant a fini par se dissoudre dans un liquide noir et aigre. Désespoir. Incompréhension. Première rébellion de celui qui se laissait aller.

Sa sensibilité est sans doute son défaut principal. Chaque mot, chaque geste, chaque événement le touchent d’une façon plus importante que pour les autres. Même un simple reproche est capable de le laisser muet de doutes. Il panique trop vite et pense trop à ceux qui l’entourent. Il est tout simplement incapable de tuer qui ce soit ; simple animal ou humain. Trop gentil, direz-vous et même ses sujets ne contesteraient pas cette réalité qui s’avère parfois handicapante. Heureusement, pour remonter un peu la balance, ce même défaut a effacé toute trace d’individualisme en lui, faisant de l’héritier quelqu’un d’extrêmement altruiste et solidaire, d’une douceur innocente. Eh oui, autant le dire tout de suite, ce jeune homme a beau avoir un 19 pimpant inscrit sur sa « carte d’identité », il a plus l’attitude d’un enfant de dix ans. Pas qu’il soit ignorant et immature – bien au contraire et c’est bien là le fondement de sa puissance mais il est d’une telle naïveté et d’une telle candeur qu’il se sait assez prévisible.

Imaginons une situation tout à fait possible. Si un ennemi capture l’un des siens et lui demande de se rendre, sinon quoi il verrait son subordonné mourir, Reizen ne se sacrifierait pas bêtement, ayant dépassé ce stade-là mais seuls ceux qui le connaissent un tant soit peu le devineraient sans trop de difficulté. Surtout Raven. Ce dernier a toujours eu le don de lire en lui aussi facilement qu’on feuillette un journal alors que son jeune frère n’a jamais cessé de se demander à quoi pouvait bien penser son jumeau. Pourquoi il agit ainsi. Pourquoi il refuse d’accepter ses idéaux. Bref. Contrairement à son frère, Reizen est du genre à être aux côtés de ses sujets lors d’un combat pour les épauler.

................

SEE ME OTHERWISE :

C’était un gamin dépendant et soumis, trop souriant, trop silencieux.

Il n’était pas étonnant que Reizen soit ainsi. Il était l’un des héritiers d’une grande famille, destiné par leur soif de pouvoir à envelopper tout un monde sous son commandement, supérieur aux autres dès le moment où il ouvrit les yeux pour la première fois. Il était tout à fait normal qu’on le gâte, qu’on se préoccupe de sa santé, de ses envies, de ses désirs. C’était rassurant de se savoir constamment entouré et surveillé ; rien ne pouvait lui arriver, alors qu’il était bien au chaud dans un cocon fait pour lui. Tout était fait pour son bien-être. D’un côté, ce n’était pas une mauvaise décision, d’autant de pouponner. Il était naturellement fragile, moralement et physiquement. Certes déterminé, avec une force digne de son rang mais il avait souvent l’air d’un ange en cristal. Facile à briser.

Il y avait aussi Raven, son cher frère ainé, toujours là pour lui, quelle que soit la situation et quel que soit le but de sa présence. Une sorte d’exemple à suivre. Le modèle n’était pas parfait mais il avait de quoi remplir ses grands yeux rêveurs d’étincelles admiratives. Certes, il ne se passait pas un jour sans que son jumeau ne vienne l’embêter, l’agaçant au plus haut point. Or, il n’en gardait aucune rancune. Bien au contraire. Il lui semblait même que le fil qui les reliait, présent depuis leur naissance, ne se romprait jamais. Il savait parfaitement que ses gestes avaient beau être agaçants et irritants, n’étaient mus par aucune haine. Ils jouaient, s’amusaient aux côtés de leurs parents. Leur histoire aurait pu être écrite et publiée comme « conte pour enfants ». Mais les événements étaient bien loin d’un « et ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps ».

Ils avaient dix ans. Rien que ça. C’était bien trop tôt pour lui de perdre ainsi ses parents car à peine commencèrent-ils à préparer leur coup d’état qu’ils disparurent de leur existence. Ils étaient bien trop occupés, bien trop attachés à cette lueur aveuglante qu’était le trône de Millénium. Ce n’était pas étonnant que son frère et lui aient été mis à l’écart, aux oubliettes, comme une décoration qui devient encombrante et inutile et qu’on laisse pour plus tard, au cas où. La famille Sanzo au pouvoir, la nouvelle attention qu’on porta sur eux l’effraya. Ils n’étaient plus que deux nobles mais deux héritiers au trône. Au fond, s’il ne s’était pas brisé à cette époque-là, c’était bien parce que Raven le soutenait. C’était étrange, douloureux. Il le voyait grandir, devenir plus fort alors que lui n’avançait pas. Il restait toujours le gamin pleurnichard qui sanglotait dans les bras de son grand frère. Que ce dernier l’embête, le frappe un peu, le malmène, ce n’était pas grave, tant qu’il était là, près de lui. Qu’ils se disputent, se bagarrent, ça ne l’était pas non plus, puisque la réconciliation servait de clôture. Tant qu’il prenait soin de lui à la fin, Reizen se moquait bien du reste. Il fermait les yeux, bien plus que les autres. Il refusait de voir plus loin de cet espace limité qui formait son enfance. Il s’accrochait à son jumeau, le voyant comme un pilier solide que seule la mort briserait.

Il s’était trompé. Mais pas totalement, puisque ce fut bien la Mort qui les sépara.

C’est à cette époque-là que les Décadents s’incrustèrent au sein du Royaume, ne provoquant qu’un tumulte grandissant que les souverains ne contrôlaient guère. Reizen n’avait pas vraiment de parti, balançant entre une envie de paix venue d’une enfance bafouée et une colère froide que lui inspirait la violence en général. Etait-ce à ce moment-là, quand chacun choisit son camp, qu’il aurait dû être sur ses gardes ? Etait-ce sa faute de ne pas avoir remarqué plus tôt ? De ne pas avoir su déchiffrer les pensées de son jumeau, au moins une fois ? Il aurait pu éviter ça. Non seulement leur mort mais aussi le fait qu’elle ait été provoquée par leur propre fils. Sans qu’un seul regret ne fasse trembler ses mains, alors qu’une seule goutte de sang faisait vibrer d’effroi le corps tout entier de Reizen. En mettant fin à leur vie, certes pathétique, Raven avait aussi coupé leurs liens. Il le savait pourtant, qu’il n’était pas aussi fort que lui, qu’il était impossible pour lui de prendre la responsabilité d’un tel acte et pire ! de le suivre dans un chemin baigné de sang. Son pacifisme vit alors le jour. Laisser d’autres que lui ressentir une telle souffrance ? Hors de question ! Décadent ou pas, personne ne devait vivre une chose pareille. Événement sans lequel il n’aurait jamais été capable de quitter ainsi son frère qui avait depuis longtemps plus le rôle de guide qu’autre chose, l’englobant d’une affection douce. Peut-être trop. Il en avait pris conscience, coupant tout lien avec son frère, s’obstinant à refuser d’avouer une erreur qui n’était pas sienne. De toute évidence, le fautif était Raven. C’était à lui de s’excuser et d’accepter ses idéaux sans les considérer comme utopistes et naïves.

Rébellion d’un gamin pourtant toujours soumis ? Il préférait voir ça comme une première marche vers une indépendance propre que lui rapporteraient la victoire et la paix qui viendrait après. Comme si l’oisillon qu’il était décidait enfin de voler de ses propres ailes.
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BEHIND THE MASK :

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COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Partenariat avec South Home.
CODE : J’aime le Mais oui, mon enfant. ~. *.* C’est délicat, c’est blanc, c’est petit, ça sent bon… Comment ça j’ai l’air louche ?

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Reizen Sanzo
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MessageSujet: Re: Reizen Sanzo, a king. | 100% |   Reizen Sanzo, a king. | 100% | EmptyJeu 7 Jan - 18:32

Fiche enfin terminée ! J'attends votre jugement~
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MessageSujet: Re: Reizen Sanzo, a king. | 100% |   Reizen Sanzo, a king. | 100% | EmptyVen 8 Jan - 18:10

    Moi j'dis c'est parfait, c'trop Reizen quoi, 'fin bref.
    In Love. xD. ♥️.
    Je te mets ta couleur, change ton pseudo et tout-tout-tout.

    Sur ce,
    Bon jeu !
Ewon J. Castle
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× Arme : Deux flingues.
× Reminder:

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MessageSujet: Re: Reizen Sanzo, a king. | 100% |   Reizen Sanzo, a king. | 100% | EmptyVen 8 Jan - 19:46

    Yatta~
    Je suis vraiment contente que ça ait plu !
    Merci beaucoup ! o/
Reizen Sanzo
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MessageSujet: Re: Reizen Sanzo, a king. | 100% |   Reizen Sanzo, a king. | 100% | Empty

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